jeudi 8 février 2007

Analyse du Calendrier Celte du Val de la Natagne

De l’observation du parcours du soleil autour de la butte Sainte Geneviève du plateau de Malzéville j’ai constaté qu’autour du centre de la butte, pour l’observateur, durant une demi-année, en phase ascendante du soleil, du solstice d’hiver au solstice d’été, le soleil décrit ce qu’on appelle une spirale d’Archimède. Pour comprendre le fonctionnement du calendrier du Val de la Natagne il faut faire un peu de mathématique. Pour savoir comment on trace une spirale d’Archimède lire la page html suivante :

http://www.membres.lycos.fr/leleuke/Spirale.htm

Si le lien de ne marche pas c'est que lycos est en panne pour s'en assurer il suffit de taper l'adresse du site fantome où se trouvent mes fichiers :
http://wwww.membres.lycos.fr/leleuke/
Si tout va bien la page de présentation doit s'afficher.

Au cours d’une année, nous obtenons une deuxième spirale d’Archimède pour l’observateur au centre dans la phase descendante du soleil, du solstice d’été au solstice d’hiver, qui est exactement l’inverse de la première, ce qui nous donne une cardioïde (un coeur ou un escargot pour les symbolistes).

J’ai donc réalisé une étude avec des photos aux périodes les plus importantes de l’année. Fort de mon résultat et de cette certitude, je suis allé voir des astronomes. Ils m’ont répondu que c’était impossible, qu’on savait parfaitement que la Terre décrivait une ellipse autour du soleil et que la courbe que devait voir l’observateur ne pouvait être qu’une ellipse ! J’étais effondré car certain de mon résultat. Alors qui avait donc raison ? En faite , nous avions tous raison ! La Terre décrit bien une éllipse autour du soleil. Mais pour les anciens, pour l’observateur, c’est le soleil qui tourne autour de la Terre et non l’inverse ! Voyons plus précisément ce qu’est une ellipse : une ellipse a deux foyer, donc deux centres ; mais un observateur qui se trouve sur la Terre, donc sur un centre, un foyer, peut-il être au deuxième foyer en même temps ? Il est bien évident que cela lui est totalement impossible ! Cet observateur ne verra donc jamais une ellipse, mais bien une demi ellipse qui est constituée de la somme de deux courbes en formes de cardioïdes, une pour chaque foyer, véritable mouvement planétaire ! Et ce mouvement est ce qu’on appelle une excentrique. Nous allons faire à nouveau des mathématiques pour cela je vous demande de lire la page html suivante :

http://www.membres.lycos.fr/leleuke/Excentrique.htm

On retrouve ce principe d’excentrique dans les calendriers Arabes. En effet si on désir mesurer le temps il suffit de réaliser une excentrique avec des cercles graduée comme ceci :




Voici ce que donnera ce mouvement qui devra être visible en deux moments cruciales du calendrier et peut-être même trois :

3

Imaginons maintenant un endroit montagneux, comme notre Val Sainte Marie. Cherchons un point d’observation du lever du soleil de manière pertinente, par exemple la croix du Sacré Coeur (!) devant Morey et observons l’apparition de l’astre par rapport aux montagnes durant une année. Quand le soleil se lève, il apparaît en des endroits différents de l’horizon, suivant les saisons. S’il y a du relief, il ne se lève pas exactement à l’est. L’inclinaison de la trajectoire du soleil avec l’horizon dépend des saisons. L’aurore dure plus ou moins longtemps. Si on note la direction du lever en mettant des marques à l’horizon par des creux entre deux hauteurs ou par un point de culmination on peut remarquer que :

- aux équinoxes, le lever à lieu plein est.
- le jour du solstice d’été, le soleil se lève sous nos latitudes à environ 34° de l’est.
- en hiver et en automne, le lever a lieu entre l’est et le nord-est avec un écart de 34° le jour du solstice d’hiver.

Ainsi, avec des repères judicieusement choisis : entre le mont Toulon et le mont Saint Jean pour le solstice d’été, le bois de la Tremblouse et la Trompette de Bratte pour le solstice d’hiver, le Faez pour les équinoxes, on se recale sur les solstices et éventuellement sur les équinoxes à un jour près sans avoir recours à une technique complexe. On peut noter que la bissectrice des deux directions indique l’ouest. Hors ce qui est tout à fait extraordinaire avec le Val de la Natagne, c’est qu’il y a bien plus que ce système, il y a un véritable calendrier dessiné par les points de culminations et les écarts qu’il existe entre certains monts. Cet écart est de plus extrêmement précis, tout comme la distance d’un mont à l’autre ! Ils sont généralement de 5 cm sur la carte IGN !

On pourra observer le phénomène optique de l’excentricité de la terre le jour des rois au bois de la Tremblouse. On retrouve d’ailleurs dans l’étymologie de cette toponymie le mot « tremblotte » et c’est bien ce qu’il ce passe pour un observateur situer à Bratte où à Sivry : on à l’impression que le bois à la tremblotte avec l’apparition du soleil derrière le jour des rois ! Et il y a mieux encore, en allant au levant à la hauteur de 404 m du bois de la Tremblouse. Observez le soleil : il se lève perpendiculairement au lieudit « Aux Rouaux » ! Le Rouet qui je le rapelle est un appareil mécanique servant à filer la laine. La roue à un mouvement excentrique en actionnant la pédale ! Et ici, en plus on trouve un pluriel : c’est l’endroit où l’on effectue « des Rouaux » ; c’est le fuseau des Parques ! Hors n’a-t-on pas le méridien de 4,3 gr qui passe par le Mont Toulon et la Trompette de Bratte ? Ce sont des coïncidences troublantes !

Traçon sur une feuille de photocopie de la carte IGN du Val de la Natagne tous les angles vers les points de culminations présentent en partant du point d’origine qui est la croix de Morey juste en face du château de Morey.



Le soleil décrit tout au long d’une année aux points des levants, zéniths et couchants, une cardioïde. Il suffit donc, en théorie, d’une moitié de cardioïde correspondant au parcourt du soleil aux levants pour déterminer un calendrier qui sera universel. Une cardioïde est tracée avec des angles différents. Tout le problème va être d’effectuer le passage d’un angle à une date.
Toutes les dates les plus importantes sont prévues dans le Val de la Natagne : solstices, équinoxes, nouvel an celte. Mais il y en a d’autres, intermédiaires, difficilement observables puisqu’on ne sait pas quand le soleil se trouvera à la perpendiculaire de ces positions, ce qui me laisse sous-entendre que nous sommes face à un calendrier complètement nouveau et inconnu (mais peut-être pas de l’Eglise !).
Il va falloir trouver une équation simple, qui va nous permettre d’effectuer la conversion ANGLE - DATE. La rédaction de la théorie complète de la valeur que je vais vous donner se trouve sur le blog de la fibule de Ramecourt.
Elle est le résultat d’une démarche spirituelle et d’un déplacement en conséquence qui donne l’explication de ce qu’est l’image de la Jérusalem céleste sur la Terre. Imaginons le paysage entièrement dallé par une grille en forme de petits hexagones que l’on ne voit pas, dont les dimensions sont identiques et d’unité extrêmement précises, proportionnelles au parcourt du soleil. Sachez que le soleil se déplace d’un centre d’un hexagone à un autre selon une valeur toujours égale de 3,5 jours.
La découverte de la grille de la Jérusalem céleste s’est faîte à la butte Sainte Geneviève puis c’est l’observation du levant par rapport au Grand Couronné côté Trompette de Bratte qui m’a donné la valeur correspondante. Pour résumer très succintement, avec les hexagones, on s’appesantit des angles, on ne parle plus de degré mais de nombre d’hexagone (1 degré <=> 1 hexagone), donc de déplacement du soleil, ce qui est physiquement rigoureusement la même chose, mais en plus, on y rajoute le temps puisque ce déplacement s’effectue en trois jours et demi ! La conversion Angle - date en comptant le nombre d’hexagone est donc immédiate et la lecture instantanée.
Sur la courbe descendante, nous avons un angle supérieur de départ que je prends arbitrairement le 21 Juin 1998, donc au solstice d’été. J’aurais très bien pu faire l’inverse. Puis nous avons un deuxième angle inférieur correspondant au lever théorique suivant relevé sur la carte IGN, c’est une hauteur qui culmine autour du Val Sainte Marie. Il suffit de faire la différence entre l’angle supérieur et l’angle inférieur, de multiplier le tout par notre coefficient de 3,5 pour passer de l’angle au déplacement !

Consulter le blog sur la fibule de Ramecourt pour plus de renseignements :

http://fibule-ramecourt.blogspot.com

On s’aperçoit très vite que le résultat est deux fois trop grand que celui escompté ! Normal ! Nous ne travaillons que sur la moitié de spirale droite et non « la » cardioïde, il faut diviser le tout par 2 et le tour est joué ! Nous pouvons désormais décripter le calendrier Leuque dans son intégralité, il suffira de prendre garde à ne pas oublier de hauteurs.
Cette cardioïde est celle que l’on peut tracer avec sa main en partant de la racine du pouce et en passant par chaque extrémité des doigts de la main, elle se terminera par le poignet. Signalons que le centre en est le point d’attache du tendon du pouce sur le poignet (sur le radius). Nous obtenons ainsi l’explication de la signature doigts écartés des hommes des carvernes : en saupoudrant de teinture le tour de la main, ils traçaient ainsi un symbole solaire et divin du parcourt du soleil : la main de Dieu ! Les druides, à n’en pas douter, se servirent de ce procédé mnémotechnique pour prévoir les époques sacrées du calendrier en donnant une date à chaque doigt de la façon suivante :

- Pouce : La Crête - Dépassement de la perpendiculaire (90°) (29 Juin)
- Index : Mont Toulon - Solstice d’été
- Medius : Mont St Jean Début - Beltaine
- Annulaire : Mont St Jean Fin - Rameau
- Auriculaire : Faez Milieu - Equinoxe
- Articulation du Poignet : Axe du 0° - Solstice d’hiver
- Bord du Cubitus : Dépassement de l’Axe du 0° (Chaos - Fomoires) (29 Décembre)

- Après différents essais de rédaction du calendrier je n’ai pu que constater la grande difficulté que ce travail demandait, contrairement à ce que j’ai dit plus haut ! En effet, il convient, avant de sortir les dates de savoir de quoi on parle et surtout du sens dans lequel on va tracer la courbe. En fait cela dépend du moment où on commence l’étude. Le calendrier sera forcément « à cheval » sur deux années. Commence-t-on en phase ascendant ou en phase descendante ? En es-t-on au début où à la fin de la courbe ? Ici, on va, pour simplifier les choses, ne pas s’occuper de l’année 97, on commencera le tracer par la phase ASCENDANTE comprise entre le solstice d’hiver 1998 et le solstice d’été 1999. On tracera ensuite la phase DESCENDANTE comprise entre le solstice d’été 1999 et le solstice d’hiver 1999. Jusque là tout va bien, on a choisi un ordre de travail, on a nos équations mathématiques et nos conversions qui sont au point mais là où cela se gâte, c’est qu’il y a un cycle maximum après chaque solstice, ce qui veut dire que la courbe va dépasser en été les 90° et en hiver les 0°, pas de beaucoup, de quelques angles mais cela suffit pour nous embêter !



Le problème final réside dans le cadrage de départ de la courbe et sa fin. Ce problème ne peut se résoudre que si on connaît cette partie intermédiaire. Est-elle toujours la même ou varie-t-elle de 1 à 2 jours ou moins dans le temps globale qu’elle représente ? (par exemple une année elle fera peut-être 7 jours, l’autre 8 etc.) Traçons donc la courbe ascendante 1998 - 1999 et comparons la au calendrier chrétien :



- Voici la courbe descendante 1999 :




- Pour la fin de la courbe, les trois dernières dates ne semblent rien vouloir dire. On empiète sur la courbe ascendante, on ne sait pas trop s’il s’agit du levant ou du zénith, on est bien en plein chaos comme les Celtes l’on expliqué au travers de leurs mythes sur les Fomoires. A partir du moment où le soleil se lève à la perpendiculaire de la source des Fomerelles, tout devient incertain. Là encore, seule l’observation permettra de comprendre ce qu’il se passe en fin de courbe. J’en suis même à me demander si mon coefficient multiplicateur de 3,5 est toujours vrai. Peut-être qu’en arrivant en ce point, tout doit aller très vite. Tout est donc dans le cadrage des taquets. Je pense que l’observation au pied de la trompette permettait de déterminer la valeur maximale en hiver. Mais comme toujours, lorsque des problèmes comme celui-ci sont apparut, j’ai toujours eu la réponse à mes questions par l’intermédiaire de songe. La veille de l’Avent 1998, donc la nuit du 28/29 novembre, j’ai fait un rêve où le soleil dessinait ma courbe dans l’espace et on me dit que son « réglage » ne dépassait pas 7 jours avant et 7 jours après ! Ce que j’ai immédiatement traduit à mon réveil par : le soleil ne dépassera pas 7 jours avant les 90° et 7 jours après les 0°. Ceci nous donne du point de vue mathématique un angle maximum en fin de solstice d’été de :

2x7 = 90x3,5 - (Angle 2) x 3,5 <=> (14 - 90 x 3,5)/3,5 = Angle 2 = - 86°

-86° ne peut en aucun cas être supérieur à 90°, il faut donc effectuer 180 + (-86°) = 94° pour obtenir un résultat exploitable.

Pour la valeur maximum en fin de solstice d’hiver on effectuera :

2x7 = 0x3,5 - (Angle 2) x 3,5 <=> 14/3,5 = - Angle 2 <=> Angle 2 = - 4°

Nous obtenons ainsi les valeurs de Te = 94° et Th = - 4° , Te Taquet en été, Th Taquet en hiver.

Ces calculs ont été confirmé étrangement le lendemain même aux informations de la Une par le Pape en personne. En effet, celui-ci donna sa « bulle » concernant les actions religieuses de l’année sainte de l’an 2000 ! Il indique que le jubilé prendra pour début non pas le jour de l’an mais bien le 6 Janvier ce qui aura pour conséquence de donner une année de 378 jours et non 365 ! Il serait temps à tous de commencer à se poser des questions sur la raison de cette précision ! Cela signifie tout simplement, que par rapport au trajet du soleil, l’an 2000 ne débutera en fait que le 6 Janvier et non pas le 1er qui ne veut strictement rien dire physiquement par rapport à la nature ! Donc le calcul est vite fait : 378 - 365 = 13 et 13/2 = 6,5 ! Nous obtenons même une précision de ½ journé sur la valeur théorique des Taquets calculée ci-dessus. Reprenons donc ces calculs en fonction de cette extraordinaire précision qui vient à point nommée :

2x6,5 = 90x3,5 - (Angle 2) x 3,5 <=> (13 - 90 x 3,5)/3,5 = Angle 2 = - 86,28571429°

et

2x6,5 = 0x3,5 - (Angle 2) x 3,5 <=> 13/3,5 = - Angle 2 <=> Angle 2 = - 3,714285714°

Soit

Te = 93,71428571°
Th = - 3,714285714°

avec 6j 12h pour que le soleil effectue chaque angle.

- Le méridien de 4,3 gr Est de Paris passe par la hauteur de 363 m de l’extrémité de la butte dénommée « Trompette ». C’est sans conteste pour moi un point qui devait servir aux Leukes afin de recevoir l’influence celeste au solstice d’hiver, la position inverse se trouvant au Mont Toulon ! C’est la chambre de Cristal du conte du Graal. La distance du Méridien entre le Mont Toulon et la hauteur de 363 m de la Trompette est de 18,5 cm soit 4,625 km. C’est la règle verticale du Temps que l’on va pouvoir graduée en projetant dessus horizontalement tous les points des hauteurs que l’on aura relevé sur le calendrier.



- Les dates indiquées sont particulièrement remarquables ! En effet, on y trouve la Pâques, la Trinité.

- Cette courbe nous permet de confirmer ce qui est déjà connu à savoir que la date de la Pâques évolue au cours du temps. Elle n’est définitivement pas fixe mais ce qui est extraordinaire, c’est que les différentes dates où elle va évoluée, semblent prévues dans le relief de côte ! Ce qui sous-entend que les druides savaient qu’il y avait un cycle des dates de la Pâques et qu’il était éternel ! J’ai immédiatement pris contact avec la SLA, voici leur réponse :

« Il existe effectivement un cycle de la Pâque qui est connu sous le nom d’Enac. »

- La présence de la date du 6 Décembre en fin de la courbe descendante à chaque fois me permet de poser une question qui touche le coeur profond des âmes de la Lorraine : la Saint Nicolas ne serait-elle pas une antique fête païenne correspondant astronomiquement à l’approche immédiate de la fin du cycle descendant de la courbe du parcourt du soleil ? Remarquez la crosse de Saint Nicolas : ne possède-t-elle pas exactement la forme de notre courbe ? Et les trois buttes témoins du Mont Toulon, Mont Saint Jean et Faez ne sont-elles pas les symbolisations des trois petits enfants ? La Trompette de Bratte ne serait-elle pas la véritable phalange de St Nicolas ? On retrouve cette légende sous une autre forme avec l’histoire des trois petits cochons. Rappelons que la Goule ressemble à une truie. Les trois buttes ne sont-elles pas les trois petits cochons que le méchants loups, Lug, la lumière, Appolon, le soleil levant essaye de dévorer tout au long d’une année ? Et le point d’interrogation dont on ne connait absolument pas l’origine n’a-t-il pas la forme de cette courbe ?

Propos de la S.L.A à propos de la courbe :

- Elle ne peut pas être une cardioïde mais doit décrire une ellipse. Je leur ai parlé de la bulle du Pape concernant le Jubilé qui tente à prouver le phénomène d’une plus grande inclinaison du soleil pour l’observateur. Ils m’ont demandé de trouver le texte. Je suis donc allé au Grand Séminaire. Le Jubilé prendra fin le 6 Janvier, le 7 sera l’épiphanie 2001. Ce qui montre bien que l’année sainte ne sera pas de 365 jours mais bien de 378 ! En fait 6,5 jours en plus à la saint Jean d’été et 6,5 jours après la saint Sylvestre. Le texte en lui-même du Jubilé concerne toute une démarche spirituelle à accomplir durant les douze jours précédant le 6 Janvier. Cette pratique très ancienne prend racine dans la culture celtique près Chrétienne avec le culte de Berthe. La partie finale de la courbe, lorsque le soleil va repartir dans l’autre sens, sera tracée le 7 Janvier. C’est ce matin là que le soleil devra faire ces trois sauts. Pour les gens du Val, ils verront le phénomène en observant le bois de la Tremblouse où le soleil devra Trembler ! Quelle que soit la courbe, la forme n’influencera en rien les angles qui déterminent le calendrier, tout du moins, si l’on ne prend pas en compte les 13 jours en plus des 365 en début et en fin de cycle ! Nous pouvons conclure que :

- Berthe et Brigitte sont des Mythologies dédiées au cycle maximum après le Solstice d’hiver.
- Tout ce qui concerne les Dragons & autres Goules sont des Mythologies dédiées dédiées au cycle maximum après le Solstice d’été !

En guise de conclusion, nous pouvons dire qu’ avec ce système, on transforme en mouvement rotatif un mouvement de va-et-vient vertical !

Les moteurs à piston sont à base de ce principe ! Ce qui veut dire qu’au Sâ il y a donc un mouvement de va-et-vient vertical que l’on ne voit pas entre la Terre et le ciel au centre du coeur !

Ce centre est ce que l’on appelle un linga (notez que le temple qui était en ce lieu était carré) et autour de ce linga, le soleil trace de façon transversale un bindu ! Nous touchons là à la religion et découvrons avec merveille la réelle existence de Dieu ! Ce sont en des points géographiques identiques que l’on trouvera des églises ou des anciens temples soit disant païens ! Mais qu’elle technique, qu’elle science, qu’elle connaissance avaient donc nos druides !

On aboutit ainsi à la conception celtique du sanctuaire compris comme un centre, beaucoup moins temple qu’omphalos (centre), équivalent sur le terrain de la fête dans le temps et endroit chargé de valeur sacrée. Telle était la capitale préchrétienne de l’Irlande, Tara, siège de la royauté suprême ou, à un moindre degré, Emain Macha, capitale de l’Ulster, et Cruachan, capitale du Connaught, dont il est question dans de nombreux récits épiques. Il est remarquable que, s’il est souvent fait mention du ou des druides du roi Conchobar, il n’est jamais indiqué de lieu de culte et il n’est pas absolument certain que ce silence soit dû au christianisme. A certains égards, le sanctuaire est là où réside le druide. Et là où sont les druides, là sont aussi les dieux, de préférence dans un site naturel sortant de l’ordinaire, le plus souvent une hauteur. Beaucoup de grands sanctuaires celtiques sont des sommets du genre du Magdalensberg ou du Donon. Mais ici, c’est un ensemble de hauteurs qui forment le temple !

Pas plus qu’ils n’ont eu de ville, les Celtes n’ont eu de temples au sens classique du mot. Ils ont eu des sanctuaires (nemeton), bois sacrés, centres initiatiques ou spirituels connus, sans compter ceux qui ne devaient être connus que de quelques druides de haut rang.

César a entendu parler du lieu consacré (locus consecratus) qui passait pour être le centre de la Gaule, chez les Carnutes, et où les druides se réunissaient pour élire leur chef suprême. Mais il semble ignorer l’existence de temples et Lucain, cent ans après, attribue aux druides une forêt pour sanctuaire. Il n’empêche que les Gaulois d’époque romaine ont possédé d’innombrables fana et que le plan carré des sanctuaires gallo-romains construit en pierre provoque la perplexité des archéologues : il n’est manifestement pas hérité du classicisme gréco-romain.

Linga

Le mot linga signifie signe. Mais nous avons noté que sa racine était la même que celle de langalâ (charrue), racine qui désigne à la fois la bêche et le phallus. Le linga est donc bel et bien un phallus et le symbole de la procréation. Encore faut-il remarquer que l’érotisme lui est totalement étranger. La forme subtile nommée linga-sharîra s’oppose toujours à sthûla-sharîra, qui est la forme grossière. Linga est le signe d’une source de vie.

La base du linga, cachée dans le socle, est carrée ; la partie médiane est octogonale, la partie supérieure est cylindrique: elles correspondent respectivement à Brahmâ, Vishnou, et Rudra, mais aussi à la terre, au monde intermédiaire et au ciel. Le linga dans son ensemble est le symbole de Civa en temps que principe causal, en tant que procréateur. Le linga n’appartient pas à Civa: il est Civa. Mais le linga, seul, appartient au domaine de l’informel, du non-manifesté. Seule, sa dualité avec la yoni, qui figure l’organe génital féminin, permet de passer du principe à la manifestation. La Yoni (matrice) est l’autel, la cuve entourant le linga ; elle est le réceptacle de la semence.

La fertilisation de la terre s’exprime idéalement par les linga naturels, existant par eux-mêmes, pierres dressées au sommet des montagnes (ainsi les Lingaparvata du Fou-nan et du Champa) qui évoque de façon frappante le bétyle, ou Beith-el (Maison de Dieu) de Jacob, sur lequel le patriarche versa de l’huile, comme on verse de l’eau sur les linga. La parenté symbolique de l’oeuf et du linga montre en outre que ces Swâyambhuva-linga sont bien des omphalos, des nombrils du monde, où se résument toutes les possibilités de la manifestation. Au Japon, on enterre de petites représentations phalliques, en pierre ou en terre, pour la prospérité des champs.

Le linga, symbole central, est aussi un symbole axial. Le linga de lumière manifesté par Civa, dont le sanglier-Brahmâ cherche la base et l’oie-Vishnou le sommet, coïncide bien avec l’Axe du monde. C’est pourquoi Vishnou et Brahmâ apparaissent respectivement comme des gardiens du zénith et du nadir. Dans maints temples en forme de Mandala(on en trouve notamment à Angkor) le linga central s’entoure de huit linga secondaires, qui correspondent aux huit hypostases de Civa (astamurtî), mais aussi aux points cardinaux et aux points intermédiaires, ainsi qu’aux huit graha entourant le soleil. Ce n’est pas le seul cas où Civa, associé généralement à la lune, assume en fait un rôle solaire.

Bindu

Le bindu (terme sanscrit : goutte, symbole de l’absolu ; en tibétain : thi-glé) est matérialisé par le point central du vajra. C’est l’image de l’ incommensurable unité en forme de point final de l’intégration, aussi bien que point de départ de toute méditation profonde. Dans cette goutte flamboyante est compris un espace infini resplendissant de l’éclat des soleils innombrables. Le bindu a également le sens de germe et de semence. C’est le semen transmuté intérieurement par l’homme. Il désigne le point où prennent leur départ l’espace intérieur et l’extérieur et dans lequel il redeviennent Un. Il est aussi le Seigneur au-delà de l’Etat au corps formé de fulgurances, qui réside dans un Chakra supérieur. Il est lié à la lumière bleu d’azur de la Sagesse du Dharmadatu, pur élément de conscience qui émane du coeur de Vairocana, le Dhyani-Bouddha au centre du Mandala. Il procède de la Vacuité infinie, comme l’esprit dans lequel repose toute chose. Ce grain de lumière, vivante comme une étoile, est formé par l’union du prana, souffle vitale, de l’essence de notre esprit, et du principe conscient. Son aspect se nomme Félicité ; sa nature, Clarté ; son essence, Vacuité.

Autrement dit, en trançant la cardioïde, le soleil trace une goutte qui est le bindu et ce de façon transversale par rapport au linga ! Voyons ce qu’est une transversale en pensant au passage du soleil au-dessus de la butte Sainte-Geneviève :

Qui passe, qui coupe en travers: Raie transversale. Ligne droite qui en coupe plusieurs autres. En géométrie, ce nom a été donné à toute droite rencontrant les trois côtés d’un triangle ou leurs prolongements.

http://www.membres.lycos.fr/leleuke/Transversales.htm

Le soleil trace donc ce qu’on appel une strophoïde, courbe connue depuis la plus haute antiquité et qui est très certainement l’ankh égyptien ! La butte Sainte Geneviève possède exactement cette forme et le soleil tourne bien autour de la butte tout au long d’une année !

Différentes définitions se rapportant à la strophoïde:

Strophante: plante de la famille des apocynées : Pervenches - Laurier rose - Frangipanier ; les apocynées font partie des 5 familles de gentianales que sont les angiospermes et dont l’olivier, arbre de la Bible fait partie !
Strophéens: Surnom que donnaient les anciens à Mercure
Strophies: fête chez les anciens
Strophe: veut dire je tourne ! Lors de la fête de la Strophie le choeur tournait à droite autour de l’autel en chantant la Strophe et à gauche en chantant l’antistrophe.
Antistrophe: qui marque une opposition alternative.

Conclusions:

* La strophoïde signifie « tourner autour de », c’est une circumambulation céleste.
* La strophoïde symbolise Mercure c’est-à-dire Hermès, c’est donc elle qui initie !
* C’est le mouvement planétaire projeter sur la Terre !

Il est temps d’observer les courbes ainsi obtenues :

Courbe ascendante du soleil :




Notez que j’ai découvert trois de ces calendriers en Lorraine, un tout autour de Toul, et un inverser, à l’oppidum de Boviolles en Meuse. Mais il y en a certainement d’autres quelque part en France et peut-être même sur tout le territoire Indo Européen ! On retrouve cette courbe partout dans la nature et notamment avec une plante bien connue qui est celle du tournesol, plante s’orientant toujours en ensoleillement maximum ! J’irais même jusqu’à dire que le coeur humain est issu de la trajectoire du soleil et que si le mouvement du soleil ne décrivait pas pour la nature une cardioïde, nous ne pourrions pas exister ! Un coeur pourrait-il fonctionner s’il avait une forme d’ellipse ? Nous tombons à nouveau dans l’incertitude et touchons au divin et la création. Ce qui est certain c’est que le soleil dans son parcourt autour de la Terre est un des instruments de Dieu par lequel la création intervient et que les échanges entre le haut et le bas se font en des endroits à l’identique du Sâ. C’est ce principe que les anciens Grecques appelaient Hercule. Ces points, il y en a partout sur la Terre. C’est à nous de les trouver. Mais avec le christianisme, vous n’avez plus à le faire puisque les églises y sont déjà et que c’est le prêtre qui tourne autour de l’autel... Est-ce réellement le but rechercher par Dieu ? Les celtes faisaient de la géographie sacrée !

Courbe descendante du soleil :




Utilisation du calendrier :

Il est d’une simplicité exemplaire : il suffit d’être au lever du soleil au Sâ et d’observer où apparaît l’astre par rapport aux lieudits indiqués sur la liste. Le soleil apparaîtra à chaque lieudit à un moment indiqué à la demi-heure près ! Le calendrier chrétien est-il aussi précis ?

Et voici la courbe finale du calendrier Celte du Val d’Isis :




Le tracé de ces courbes s’effectue uniquement en choisissant les valeurs de culminations et d’angles. La strophoïde est ici un cercle autour du centre. Le cercle à évidemment une importance extrême en symbolisme (à vos dictionnaires des symboles !). Ainsi en réalisant un temple carré, on répond au problème dit insoluble de la quadrature du cercle. Selon un autre de mes songes on y répond qu’en y mettant du Sel or vous savez qu’en Lorraine le mot Sel à Lunéville notamment ce dit Sa qui vient d’un raccourci du mot latin Sal qui signifie Sel ! Ce qui signifie que mettre du Sel veut dire aller au Sâ ! Et que ce passe-t-il au Sâ ? Et bien une alliance avec Dieu indestructible !

La quadrature du cercle est indissoluble du Temple, du carré et du cercle

Nous voyons apparaître ici le pourquoi de la dénomination chrétienne de ce val dédié à Marie, parèdre de la déesse égyptienne Isis !

Liens html vers les différents fichiers EXCEL de l’étude du Val de la Natagne sur plusieurs années :

Fichiers vide des courbes ascendantes et descendantes du soleil. J’y ai simplement fait un relevé complet de tous les points de culminations présents :

Courbe ascendante :
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALASC.htm
Courbe descendante :
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALDSC.htm

Courbe ascendante 1998:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALASC98.htm
Courbe descendante 1998:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALDSC98.htm

Courbe ascendante 1999:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALASC99.htm
Courbe descendante 1999:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALDSC99.htm

Pour l’année 2000 j’ai réalisé un véritable Almanach en indiquant en commentaire à chaque date les dictons Lorrains et la Mythologie correspondante quand j’avais une information. On lira ces commentaire en plaçant la souris sur les petits chiffres rouges XML et en restant un instant dessus une fenêtre popup apparaîtra montrant le commentaire. J'ai essayé de reconnaitres les différents mois celtes d'aprés le travail de Robert Graves sur l'alphabet des arbres.

Courbe ascendante 2000:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALASC00.htm
Courbe descendante 2000:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALDSC00.htm

Courbe ascendante 2001:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALASC01.htm
Courbe descendante 2001:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/CALDSC01.htm

Courbe ascendante 2000 depuis le Sâ:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/SaCalasc00.htm
Courbe descendante 2000 depuis le Sâ:
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/SaCaldsc00.htm

Graphique des courbes angles en fonction des points de culminations :
http://www.membres.lycos.fr/leleuke/COURBE.htm

Conclusions :

En traçant la courbe EXCEL angle fonction des points de culmination on obtient un résultat tout à fait remarquable puisqu’il s’agit d’une pyramide ! C’est un début d’explication au pourquoi de la construction des pyramides par tant de civilisations ! En effet les points de culminations sont asservis par rapport au soleil ils tracent une pyramide que l’on ne voit pas le soleil trace donc lui aussi également une pyramide que l’on ne voit pas tout comme ce mouvement de va et vient bien présent au centre de la courbe et invisible ! Imaginons maintenant une civilisation construisant une pyramide suivant les informations des points de culminations du Val de la Natagne pour en donner une pente identique ! Que ce passera-t-il quand elle sera terminé correctement orientée ? Elle sera asservi au soleil il y aura un va et vient invisible en sont centre ! Et le moment le plus crucial sera bien évidemment au levant du solstice d’été pendant le temps où le soleil sera à la perpendiculaire de la pyramide.

L'alphabet des arbres de Robert Grave laisse supposser un calendrier de non pas douze mois mais bien treize ! Son alphabet ne me satisfait pas le problème en effet semble bien plus compliqué que cela. On trouve dans le Val de la Natagne toute une série de nom de lieudits concernant les arbres comme Saule coulon, Fontaine des Aulnes, Au chêne, En charme etc. Il va donc falloir recherché la mythologie celtique des arbres pour préciser le calendrier.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

bravo papa chui fiers de toi c génial ce que tu as fait!!!
Illana

Anonyme a dit…

j'ai regardée ton profil: star trek, cat steven, bobo dylan, tu as oublié michel polnareff!!!

R+C a dit…

Décidément mon cher Marc vous faites un excellent travail de recherches, concis. Bravo. R+C.