mercredi 14 février 2007

Ce qu'il reste à faire

Tout n'est pas encore terminé dans l'étude du Val de la Natagne. En effet si on peu regarder les couchers du soleil au solstice d'été il doit en être de même au solstice d'hiver. J'ai cherché une hauteur qui pourrait correspondre et situé de manière logique c'est-à-dire comme avec l'axe Mont Toulon - Trompette de Bratte en traçant une médiatrice par rapport à l'axe des équinoxes. Et voici ce que l'on trouve situé à égale distance par rapport aux équinoxes dans le sens inverse :



La butte constituée de la Petite et de la Grande Garenne que j'ai baptisé "la Truffe de la Goule".

En effet le plateau du Bois du chapitre, bois de Ste Goule, Bois de la Crochatte et Forêt domaniale de la Rumont est je le rapelle le plateau que j'ai baptisé "la Goule". La Goule semble courir en reniflant une sorte de champignon ressemblant à une truffe. Le soleil sera à n'en pas douter perpendiculaire à la Truffe au coucher du soleil au solstice d'hiver. Le point de l'observation sera à découvrir. Il y aura sans doute un déplacement. Je suggère d'aller voir du coté du lieudit Bois du Four de la Goule au-dessus de Malleloy en bout du relief de côte.

Dans le Val de la Natagne il y a une colline dont nous n'avons pas encore parlé il s'agit de l'Epine juste au nord de Belleau. C'est la colline la plus imposante du Val.



En regardant la distance entre le Mont Toulon et l'Epine on constate que la longueur est la même que pour celles qui séparent Mont Toulon - Mont Saint Jean, Mont Saint Jean - Faez, Faez - Bois de la Tremblouse :



Si cette cote est identique aux autres c'est que forcément la colline de l'Epine sert à observer quelque chose. On a vu que le soleil depuis le Sâ n'allait pas plus loin que Bloquemont au levant ça ne peu donc pas être un lever de soleil. Je ne pense pas que c'est un couchant. Je pense que l'Epine indique "le moment" le plus important et le plus culminant de l'année : le Zénith du Solstice d'Eté ! Là encore il va falloir aller dans le Val pour le vérifier.

Supperposons la grille de la Jérusalem Céleste comme nous l'avons vu dans le dossier sur la géographie sacrée du blog de la fibule de Ramecourt :



On observe autour de la butte de la crête une surface remarquable qui est celle du diamant !

Si c'est effectivement le zénith du solstice d'été on peu essayer de découvrir comment les Celtes le déterminait !

L'idée est de prolonger la ligne Mont Toulon - colline de l'Epine et d'observer sur quelle hauteur remarquable nous tombons :



Il s'agit à nouveau du Moulin à Vent autrefois appelé Blaine. J'ai remarqué au cours de mes expéditions que Blaine indiquait aussi un zénith mais malheureusement je n'ai pas fait de photos ni n'en ai noté la date. Mais on peu supposer avec vérité qu'il s'agit du zénith aux équinoxes car Blaine et sur l'axe des équinoxes !

Mercreci 21 Mars 2007 équinoxe de printemps :

Je suis dans le Val de la Natagne pour mon rendez vous avec le soleil. Le temps est couvert je suis inquiet. Je descend par la D44a jusqu'au pont d'Haronoué. On ne voit rien. Je sort de la voiture et me retourne. La butte de Landremont est elle éclairée par le soleil. Je décide de me déplacer pour aller au pied de la butte de Landremont. Je m'arrête au poste de Gaz qui est situé au lieudit Au Douard.



ET là bingo à 12h exactement le soleil était perpendiculaire à la butte du Moulin à Vent ! Blaine est bien un zénith des équinoxes !

Malheureusement pour moi ce jour là je n'avais pas de pellicules il a fallu attendre le 26 Mars pour avoir à nouveau un temps correct pour observer le zénith. Je suis allé à Landremont pour prendre quelques photos de la butte du Moulin à Vent :

Photo prise depuis la côte qui monte à Landremont



Photo prise depuis l'entrée de Landremont



A midi donc 13h il était bien perpendiculaire à la butte du Moulin à Vent :

26 Mars 2007 13h (12h)





Mais ce jour là le soleil était beaucoup plus haut alors que le 21 il était carrément au dessus de la butte du Moulin à Vent !

La Goule s'allume au zénith de l'équinoxe de printemps et s'éteind au couchant du solstice d'été.



Quand est-il du zénith de l'équinoxe d'automne et du couchant du solstice d'hiver ?

Ensuite comme pour le tracé de la médiatrice des solstices au lever traçons la médiatrice au zénith et nous tombons sur le lieudit "Au Sâ" ! Nous remarquons le Sâ est situé exactement au milieu de l'axe des équinoxes passant par le lieudit "Entre Deux Mont" à l'ouest et "Saule Coulon" à l'est.

Nous obtenons ainsi la méthode des Celtes pour obtenir l'emplacement du Temple qui sera le centre de l'observation de la courbe orbitale du soleil. Aprés avoir tracé l'axe des équinoxes ils en cherchait le milieu. Il ne leur restait plus qu'a tracer une médiatrice donc une droite à 90° par rapport au milieu pour obtenir l'axe des zénith du solstice d'été. Ils traçaient ensuite l'angle zénith équinoxe - lever solstice d'été et au point de croisement entre cet angle et la médiétrice des zénith ils obtenaient le point du zénith au solstice d'été !

On est maintenant en droit de ce demander mais qu'est-ce que c'est que cette fameuse cote que l'on retrouve partout autour du Val, tout autour de Nancy ? En effet, prenons une régle et mesurons les cotes qui se trouvent également tout autour de la Goule :



On s'aperçoit que les cotes sont pour certaines identiques et pour d'autre faisant la moitié de la première ! Or on retrouve la demi mesure de la première également entre chaque montagne du Val de la Natagne !

J'ai obtenue la réponse à cette question avant d'aller étudier le calendrier. En effet j'ai découvert au plateau de Malzéville que j'ai baptisé "le Loup" que la Butte Sainte Geneviève décrivait dans le relief de côte une strophoïde !



Tout autour du plateau de Malzéville (carte IGN NANCY 3415 O) nous retrouvons ces mêmes cotes et demi cotes ! On remarque que la Strophoïde que trace le relief de côte de la Butte Sainte Geneviève donne exactement la plus grande cote par son axe horizontale ! Qu'est-ce que cela signifie ? Et bien que cette cote est tout simplement le diamètre de la cardioïde tracée par le soleil qui tourne tout au long d'une année autour de ce qu'on appel un autel et en tournant autour de l'autel la cardioïde trace une strophoïde et que le demi cote en est le rayon !

Maintenant on est en droit de ce demander "mais comment ont-ils fait ?" Surement pas avec leurs petits bras musclés comme dirait Coluche ! Ils ont observé la nature on compris que les reliefs de côtes avaient des proportionnalités identiques qui pouvaient leur permettre d'observer le temps et que la nature marchait de cette façon. Ensuite il n'y a plus qu'a trouver un endroit judicieusement choisis pour établir un calendrier puisque partout autour de leur territoire on trouve la même chose des proportions de reliefs de côtes solaires !

Remarque :

Si on tape Goule dans google on obtient un village du nom de Saint-André-Goule-d'Oie or nous avons vu l'importance de l'Oie solaire dans le Val.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Saint-André-Goule-d
http://www.lion1906.com/Regions/pays_de_la_loire/Departements/vendee/saint_andre_goule_d_oie_850196.php

Il serait intéressant de savoir ce qu'il se passe là bas en Vendée au niveau géographique et mythologique. D'autant plus qu'à proximité ce trouve une ville appelée L'oie.

A propos du hiéroglyphe de l'Oie solaire égyptienne :



On peu désormais en donner l'explication solaire puisque comme on l'a vu l'Oie est équivalente à la Goule celtique. Le soleil sera perpendiculaire au dos de la Goule à la butte de la crête au zénith du solstice d'été or sur le dessin du hiéroglyphe le soleil est aussi au dessus du dos de l'Oie ! Le hiéroglyphe de l'Oie signifie donc le moment du zénith du soleil au solstice d'été et en donne également l'endroit où il faut l'observer : au sâ !

Il est fort probable que l'on retrouve ce même principe de fonctionnement sur les hauteurs environantes de Nancy. J'ai dors et déjà repéré une sorte de tête de taureau que j'ai baptisé Mithra, deux têtes humaines qui ressemble au Janus ou Hermès, et une assez spéciale comme avec une hache sur la tête que j'ai baptisé Taranis.

Existe-t-il un lien astronomique avec la Goule ?


Algol de la constellation de Persée
beta Per, 26, HR 936, HD 19356, magnitude 2,12, hémisphère nord
Autres noms: Gorgona, Gorgonea Prima, Demon Star, El Ghoul. Algol, dans la constellation de Persée, est une célèbre étoile double. Son nom vient de l'arabe "Al-Ghul", "la goule". Algol est une étoile de classe BV8, située à 100 années-lumière. Rayon de 3,16 rayons solaires
Ra's AL-Ghôl ,la tête de l'ogre , la tête de la goule ,c'est dire la meduse.
Algol
Ras Algol
Chamil
Chamil ras Algol

beta Per [Ra's] al-Gul
al-Gul
Hamil [Ra's al-Gul] La tête du Goule ( La Gorgone)
Le Goule (La Méduse)
le Porteur de la tête du Goule

Algol (étoile)

Algol
(β Persei)


Données d'observation
Époque J2000.0
Constellation Persée
Ascension droite (α) 3h 08m 10,1s
Déclinaison (δ) +40° 57' 20,0"
Distance 92,8 AL
(28,47 pc)
Magnitude
apparente (V) +2,3 à +3,5
Type spectral
Algol (β Persei) est une étoile variable à éclipse de la constellation de Persée, de magnitude 2, qui varie périodiquement tous les 2 jours et 21 heures environ. Algol a un compagnon sombre qui l'occulte et est responsable de sa baisse de luminosité, il s'agit donc d'une binaire à éclipses (elle est la représentante de cette classe). La distance qui nous sépare d'Algol est de 92,8 années-lumière.

note: En arabe, Algol signifie «le démon».



Se passe-t-il quelque chose perpendiculairement à la tête de la Goule dans le ciel lié à l'étoile Algol ? Si oui et quand ?

Il est fort probable qu'en plus de l'observation d'une étoile les celtes aient eu une constellation qu'ils appelaient La Goule et qui était la constellation beaucoup plus ancienne de Persée.



PERSEE (Perseus, Per)

L’histoire de Persée commence plutôt mal. Un oracle annonce à son grand-père Acrisios qu’il mourra de la main de l’enfant qui naîtra de sa fille Danaé. Il enferme donc Danaé dans une tour pour l’empêcher de tomber amoureuse de Zeus. Mais celui-ci y parvient quand même et Danaé donne naissance à Persée. Le grand-père décide alors de se débarrasser de sa fille et son petit-fils en les enfermant dans une malle qu’il jette à la mer. Ils sont recueillis sur une île par un pêcheur, Dictys. Ils vivent tranquillement jusqu’au jour ou le frère de Dictys, Polydectès, désire épouser Danaé. Mais sachant que Persée s’opposerait toujours à cette union, Polydectès organisent un banquet ou chaque invité doit apporter un présent. Persée, trop pauvre, arrive les mains vides et demande alors à Polydectès ce qu’il souhaite. Celui-ci répond : la tête de la gorgone Méduse, créature hideuse et effroyable qui transforme en pierre tous ceux qui la regarde. Persée mettra longtemps avant de trouver les gorgones et d’apprendre à pouvoir les vaincre. Tout d’abord le dieu Hermès, qui lui offre une épée qui peut trancher la tête de la gorgone, un sac magique prenant la forme de ce qui se trouve à l’intérieur, un casque qui rend invisible et des sandales volantes. Persée rencontre ensuite Athéna qui lui donne son bouclier et lui dit de regarder le reflet de la gorgone dans le bouclier pour pouvoir la terrasser. Alors qu’elle dort, Persée réussi à tuer la gorgone Méduse, seule mortelle. Sa mission accomplie, Persée s’envole sur ses sandales pour rejoindre son île, qu’il retrouve en triste état à cause de Polydectès. Son père adoptif et sa mère ont disparu. Persée apprend que Polydectès donne un autre banquet et il s’y rend et sort de son sac la tête de la gorgone. Tous les convives y compris Polydectès sont transformés en pierre. Le dernier acte de Persée est le suivant : sa mère, Danaé souhaite retrouver son père, Acrisios, qui, banni de son royaume, erre dans la nature. Convié à un tournoi de lancer de disque, Persée heurte Acrisios qui meurt. Persée régnera alors sur le royaume d’Argos et aura pour descendant un certain Hercule.



Si le plateau de Malzéville est la projection inverse de la constellation du loup alors il en est peut être de même avec le plateau de la Goule. De la à supposer qu'on puisse la retrouver il n'y a qu'un pas ! Peut-être en se déplaçant tout autour du Plateau et en notant les étoiles qui longent les reliefs de côtes mais quand ? L'observation de Persée se fait en novembre. C'est une constellation du ciel d'automne.



On recherchera une correspondance stellaire avec la configuration du Mont Saint Jean, Faez et Bois de la Tremblouse avec le bras de la constellation de Persée et pourquoi pas l'épée capable de trancher la tête de la Goule.

http://www.astro-rennes.com/constellations/persee.php

Vendredi 22 Juin 2007 à 19h

Je suis au Val de la Natagne pour observer le couchant du solstice d'été par rapport à la butte de la Crête de Belleau. Je prends le chemin de Cratte qui indique trés certainement l'ancien nom de cette butte.

Le soleil est perpendiculaire à la butte de la Crête non pas au zénith mais bien au couchant. Arrivé en haut de la butte il y a un axe qui suit exactement le couchant du solstice d'été tout comme au Pain de Sucre de Tomblaine.



22 Décembre 2007 solstice d'hiver :

Je vais à Custine pour la dernière observation solaire et lunaire au solstice d'hiver. Je suis sur la D44a en sortie de Custine à droite se trouve les résidences Saint Antoine et à gauche une route qui monte au Champ des pierres à la hauteur de 233 au lieudit les Poiroux. Je gare ma voiture à coté d'un réservoir d'eau, une maison est en construction, je prends une photo :



Le soleil se trouve perpendiculaire à la butte constitué de la Grande et de la Petite Garenne que j'ai baptisé "truffe de la Goule".

La Goule au solstice d'hiver court aprés le soleil couchant symbolisé par la truffe.

je monte jusqu'à la hauteur de 294 m je suis à la limite du Bois du Four. La Blanche Pierre est la "museau de la goule".



Nous obtenons ici l'explication de la toponymie "Bois du Four" qui est éclairé par le soleil couchant du solstice d'hiver.

Je redescend jusqu'à ma voiture et me retourne vers l'Est pour apercevoir un superbe lever de pleine Lune au Bois de Ste Goule.



Il est 15h40 je regarde l'ouest et prends une dernière photo du soleil perpendiculaire à la Garenne :



Ce qui cloturera toutes ses années à étudier ce plateau.

lundi 12 février 2007

Technique Celtique Leuke de Calendrier

Cet article est une suggestion de Paul Verdier auteur de La Geste dans les Cévennes.

Suivant les saisons, le soleil se couche en direction de l’ouest (équinoxe), légèrement vers le nord (en été) ou vers le sud (en hiver). Si on note la direction du coucher en mettant des marques à l’horizon, on peut remarquer que :
- Aux équinoxes, le coucher a lieu plein ouest.
- Durant le printemps et l’été, le soleil se couche entre l’ouest et le nord-ouest.
- Le jour du solstice d’été, le soleil se couche sous nos latitudes à environ 34° de l’ouest.
- En hiver et en automne, le coucher a lieu entre l’ouest et le sud-ouest avec un écart de 34° le jour du solstice d’hiver.



Quand le soleil se couche, il disparaît en des endroits différents de l’horizon suivant la saison. S’il y a du relief, le jour de l’équinoxe, il ne se couche pas exactement à l’Ouest. L’inclinaison de la trajectoire du soleil avec l’horizon dépend de la saison. Le crépuscule dure plus ou moins longtemps.

Ainsi les Celtes, avec des repères de points de culminations judicieusement choisis se recalaient sur les solstices et sur les équinoxes à un jour près.

La bissectrice des deux directions extrêmes leur indiquait l’ouest. Pour tracer cette bissectrice ils se déplaçaient dans le Val en suivant le ruisseau de la Natagne ils repéraient le couchant des équinoxes en observant depuis le lieudit "Aux sobordonnes" au-dessus de Ville-au-Val



et si le soleil se trouvait exactement perpendiculairement au lieudit "Entre Deux Monts" alors le moment de l'équinoxe de printemps était arrivé.



Ils ne restait donc pas cantonner à faire leurs observations en un lieu précis ils se déplaçaient dans le Val.

Le lendemain matin ils montaient au petit temple Au Sâ



et observais le soleil se lever trés probablement par l'intermédiaire d'une fenêtre faite dans un des murs sur le coté Est



Le jour de l’équinoxe, le soleil ne se lève pas exactement à l’est mais légèrement décalé de quelques degrés vers le sud en raison du relief. Il faut attendre que le soleil émerge derrière la montagne du Faez en Saule Coulon pour qu’il soit visible.



Du Sâ ils observaient la courbure de l'orbite terrestre tout au long d'une année qu'il vénérait en tant que Mercure et formant une strophoide autour du Temple.



Le repérage du soleil à l’horizon leur était possible car dans le relief des points remarquables existent qui sont le Mont Toulon, le Mont Saint Jean, le Faez, le Bois de la Tremblouse et la Trompette de Bratte.

A ces points seront associés des étoiles particulières. Le printemps sera annoncé par le lever du soleil au point de l’horizon où une étoile d'une certaine constellation de l'époque Celtique se lévait également. De nos jours c'est Altaïr, de la constellation de l’Aigle.



Après avoir tracé une bissectrice pour l'axe des équinoxes, les celtes traçaient une médiatrice entre deux points de culminations du lever du solstice d'été au Mont Toulon au lever du solstice d'hiver à la Trompette de Bratte pour obtenir l'axe des solstices.



Remarquez que le méridien de 4,3 gr passe exactement par le Mont Toulon et la Trompette de Bratte.

Les celtes se servaient ensuite de relief de côtes judicieusement choisis tournant autour de l'axe des équinoxes de longueur identiques découpées en quatre parties égales ce qui donne cinq points de lever du soleil au cours d'une année et espacés d'un nombre égale de jours. Ces points seront les fêtes celtes que nous connaissont.



Reprenons notre déplacement dans le Val à partir des équinoxes au Sâ :

Le Dieu associé à l'équinoxe de printemps est Taranis le Dieu du Tonnerre appelé aussi Bon Frappeur, c'est le forgeron. Les protagonistes se rendaient ensuite probalement au Faez pour y rencontrer une Téophanie.

En phase ascendante ensuite ils observaient du Sâ la fête suivante qui est celle des Rameaux. Le soleil va se lever derrière le Mont Saint Jean perpendiculairement aux alentours des lieudits Pièce Gaillot et Bois de Meslieux.





Ils se rendaient ensuite au lieu de Théophanie en passant par L'épine



où ils pouvaient confirmer que le soleil se trouvait perpendiculairement a la Fontaine des Aulnes.



Ils se rendaient alors à la source des Aulnes et sans doute y buvait et faisaient des ablutions.



Une villa a été trouvé par Geindre en cet endroit ainsi qu'une petite sépulture.



Le soleil arrivé aux alentours du lieudit Hardemont c'est le cycle de l'Enac qui commence (la Pâques).

La fête suivante celtique observé du Sa sera la Beltaine du 1er Mai marquée par l'arrivée du soleil en bout du Mont Saint Jean.



Du Sâ ensuite la fête sans doute la plus importante de l'été sera marqué par le lever du solstice d'été du soleil perpendiculairement au lieudit "Bloquemont". Vu du Sâ il n'ira pas plus loin en phase ascendante.



Les observateurs se rendront ensuite au Mont Toulon



pour y vivre la Théophanie la plus importante de l'année puisque le soleil pendant quelques minutes sera perpendiculaire au Mont Toulon pour celui qui s'y trouve.



On y célébrera le chêne et ce sera le moment mythique du Dragon.

En phase descendante la fête suivante sera celle de Lugnasad marquée par l'arrivé du soleil en extrémité du Mont Saint Jean vu du Sâ.



Au coucher du soleil au solstice d'été les celtes se rendaient au buzion pour observer le coucher du soleil qui était perpendiculaire du Moulin à Vent autrefois Blaine. Cette hauteur servait aussi en journée d'indication du moment du zéntih pour les gens qui vivaient dans le Val de la Natagne. En effet,à midi le soleil passe obligatoirement par le Moulin à Vent.





Enfin en soirée les celtes se rendaient au lieudit "l'Orme de Villers" en bas du Buzion pour observer le soleil s'éteindre sur la butte de Landremont au lieudit "la Haulnaie".





Le soleil arrivera ensuite à sa position d'équinoxe d'automne à nouveau en Saule coulon derrière le Faez.





Une nouvelle fête celtique arrivera ensuite celle de Samain qui se situera en bout du Faez coté Bois de la Dame :



Le soleil se lèvera perpendiculairement à la source captée des 8 journeaux où Geindre a trouvé un sanctuaire de source.



Les celtes s'y rendaient pour y faire des ablutions y boire et y faire des offrandes en y jetant des pièces de monnaies.

Arrivé au début de l'hiver vu du Sâ la lecture devient imprécise. En effet nous obtenons le soleil à l'extrémité du bois de la Tremblouse et à proximité de la croix de Bratte :



Pour connaitre le moment précis de la date du solstice d'hiver les celtes se déplaçaient vers Faulx pour se poster au lieudit "Au Sorbier" et observer le lever du soleil au point de culmination de la Trompette de Bratte :





On fêtera les Brigitte et les Berthes.

Nous arrivons enfin en période de fin d'année. Nous sommes en plein chaos. Comment les celtes s'y prenaient-il pour trouver exactement le moment où le cycle solaire allait s'arrêter pour repartir en phase ascendante ? Et bien ils se déplaçaient à nouveau vers bratte pour monter à la Trompette et se positionner au lieutdit "Côte de Savrony" du Bois de villers. Nous sommes ici entre deux formes montagneuses ressemblant à une poitrine féminine.



Et c'est le jour des Rois dans notre calendrier Chrétien qui sera la date buttoir de ce moment crucial où il va se passer un phénomène optique troublant et c'est cela que les celtes vont surveiller. Observez la photo que voici.



Elle ne ressemble pas aux autres photos de levé du soleil. Il y a des cercles lumineux de différentes intensités autour de lui ! Il est entrain de ce passer quelque chose !

Cela signifie qu'il y a un mouvement de rotation au centre de la lumière blanche. C'est le mouvement de l'excentricité du soleil autour de la Terre qu'il sagit. C'est un phénomène optique et il servait à déterminé la fin de l'année solaire.
L'endroit où le soleil se lève ce matin là le jour des Rois s'apelle Aux Rouaux qui est un pluriel de rouet. Hors le rouet était un appareil pour tisser la laine et son mouvement était une excentrique !

Ils allaient ensuite trés probablement boire à la source au lieudit "En Fomerelle".

Le soleil repare en phase ascendante.

Une fête celte connue s'apelle Imbolc. Les celtes l'observait depuis le Sâ en observant à quel moment il allait se trouver perpendiculairement au milieu du bois de la Tremblouse.



Ensuite ils se déplaçaient et allaient à une nouvelle source sacré qui se trouve exactement au milieu pour y boire et y faire des ablutions.



Le soleil arrive ensuite au même niveau que pour la date de Samain, nous sommes à la Carême à l'extrémité droite coté Viller les Moivrons du Bois de la Tremblouse.



Et ce sera à nouveau le printemps avec le soleil en Saule coulon.