5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris depuis le Pont d’Haronoué du Val de la Natagne. Le soleil se lève au-dessus de la Crête de Belleau.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris depuis le Pont d’Haronoué du Val de la Natagne. Le soleil se lève au-dessus de la Crête de Belleau.
5 Avril 1998. Rameaux. Autre vue prise à la croix de Landremont au lieudit la Croisette qui culmine à 270 m.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant au Près Notre Dame en bas de la côte de Landremont. Le soleil semble au-dessus du Mont Toulon. Il va en réalité au cour de cette journée effectué l’ascension de la butte de La Crête pour l’observateur positionné à ce point de vue.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant sur la D44a au lieudit en Fossé. Diffontaine. Le soleil se trouve perpendiculaire au point de culmination du début du Mont Saint Jean.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris depuis le Buzion. Le soleil se lève au lieudit en Buzion pour l’observateur se trouvant en haut du plateau que j’ai baptisé la goule.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris depuis la Croix de Morey. Le soleil semble sur le début gauche du Faez.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris en sortie de Sivry.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant pris depuis la D10 de Sivry. Le jour des Rameaux, le soleil se trouve entre les deux Mont de Saint Jean et du Faez. Le soleil arrivant au creux entre les deux Monts Saint Jean et Faez annoncerait la Pâques 8 jours avant.
5 Avril 1998. Rameaux. Levant depuis la D10 de Sivry. Levant sur la D10 en haut de la côte. A droite ce trouve le lieudit la Goule, toponyme qui a servit à baptiser le plateau qui se trouve à gauche (bois du Chapitre etc.). Remarquez le soleil se trouvant entre les deux extrémités des hauteurs le jour des Rameaux.
5 Avril 1998. Rameaux. Vue panoramique du bras de levier que forment les différents Monts se trouvant en bout Est du Val de la Natagne. Vue panoramique n° 1 prise depuis Les Prays du Mont Toulon du Grand Leviot. Vue 1.
5 Avril 1998. Rameaux. Vue panoramique du bras de levier que forment les différents Monts se trouvant en bout Est du Val de la Natagne. Vue panoramique n° 1 prise depuis Les Prays du Mont Toulon du Grand Leviot. Vue 2.
5 Avril 1998. Rameaux. Vue panoramique du bras de levier que forment les différents Monts se trouvant en bout Est du Val de la Natagne. Vue panoramique n° 1 prise depuis Les Prays du Mont Toulon du Grand Leviot. Vue 3.
5 Avril 1998. Rameaux. Vue panoramique du bras de levier que forment les différents Monts se trouvant en bout Est du Val de la Natagne.
1 Mai 1998. Beltaine. Levant à la Croix de Morey. On ne voit rien.
1 Mai 1998. Beltaine. Levant à Sivry. On aperçoit un rayon de soleil aux alentours du Mont Saint Jean, insuffisant pour situer le point de culmination indiquant le passage du soleil au lever de la fête de Beltaine.
Vendredi 8 Mai 1998. 6h40 à la Croix de Morey. Le soleil se trouve en bout d’extrémité gauche du Mont Saint Jean et approche de sa position solsticiale d’été. Il entame déjà son déplacement en direction du Mont Toulon.
Vendredi 8 Mai 1998. 6h40 à la Croix de Morey. Le soleil se trouve en bout d’extrémité gauche du Mont Saint Jean.
Vendredi 8 Mai 1998. 6h45 à la « Goutte » (champ en forme de) de Morey. Je suis descendu de le Val et entame l’escalade du lieudit les Rébuchés derrière Belleau. Le soleil est juste en face de moi. On aperçoit nettement à gauche de lui le Mont Saint Jean. Le soleil est bien en bout de course de l’extrémité gauche du Mont Saint Jean.
Vendredi 8 Mai 1998. 6h55 à la « Goutte » (champ en forme de) de Morey. Le soleil est en bout de course de l’extrémité gauche du Mont Saint Jean. Cette position, à 7 jours près nous permet de déterminer celle du 1er Mai, fête de Beltaine. Le soleil s’est déplacé et se trouve désormais à la perpendiculaire de l’extrémité gauche du Mont Saint Jean. Nous pouvons en déduire que le 1er Mai, jour de la fête celte de Beltaine, le soleil se trouvait à la perpendiculaire de l’extrémité gauche du Mont Saint Jean à l’Est de Belleau. Remarquons que la Natagne donne exactement l’angle d’observation par le trajet qu’elle effectue depuis le Breuil de Belleau jusque derrière Sivry. Nous venons de retrouver le pourquoi de la toponymie de Belleau : c’est l’eau qui donne le jour de Bel(taine) pour l’observateur se trouvant au Breuil.
3 Juin 1998 à 20h33. Photo prise à la sortie de Custine sur la route qui va à Morey. A gauche le soleil se couche à hauteur du Front de « La Goule » correspondant au plateau qui se trouve avant d’arrivé au Val de la Natagne, ou encore « Nout » pour les Egyptiens. Ce baptême vient de la forme en sorte de « truie » de ce plateau et des buttes qui l’entourent symbolisant selon moi les « Trois petits cochons », authentique légende Lorraine.
3 Juin 1998 à 20h47 à la Croix de Morey. Le soleil se couche derrière la Croix.
3 Juin 1998 à 20h48. Le soleil se couche au-dessus de la butte qui s’appelle « le Moulin à Vent » (autrefois Blaine). Cette butte indique l’endroit où se couche le soleil pour l’observateur qui descend le dos de la Goule donc en suivant la D44a. Ceci nous donne la fonction du Moulin-à-Vent qui est d’indiquer la position Méridienne du Soleil ou de la Lune et bien entendu également certaines étoiles, planètes et constellations. Car si le soleil passe obligatoirement par cette hauteur, alors y passe également certains astres et constellation aux différentes périodes de l’année.
3 Juin 1998 à 20h52. Couchant depuis le pont d’Haroué. Le soleil s’éteind tel un lampadaire céleste sur la butte de Landremont qui selon mon analyse mythologique représente dans ce Nemeton qu’est le Val de la Natagne, la « barque d’Isis ».
3 Juin 1998 à 20h56. Vue 1. Le Val Sainte Marie depuis Landremont. Au fond on découvre le Grand Leviot constitué du Mont Saint Jean et du Faez et à droite le Mont Toulon.
3 Juin 1998 à 20h56. Vue 2. Le Val Sainte Marie depuis Landremont.
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h06. La lune est perpendiculaire à la butte du Moulin à Vent tout en haut de la photo (le petit point rond). On peu être pratiquement certain que Blaine indique un méridien.
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h09. Le Val Sainte Marie avec les différents Mont Saint Jean, Faez et Bois de la Tremblouse qui représente ce que j’appelle « le bras de la balance ».
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h11. Couchant derrière le Moulin à Vent depuis le château de Morey. Cette magnifique photo ne laisse planer aucun doute sur la fonction réelle de la butte qui se prénommait Blaine autrefois. Blaine signifie en celte : là où le soleil s’éteint !
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h11. Couchant derrière le Moulin à Vent depuis le château de Morey. Le soleil est à hauteur du lieudit « Au charmois » (290 m).
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h16. Couchant depuis le bas de la butte du Moulin à Vent. Il est dans l’alignement du Val Sainte Marie au-dessus de Ville-au-Val.
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h24. Couchant depuis le bas de la butte du Moulin à Vent. Le soleil est au pied de la butte de Landremont au-dessus de Ville au Val.
Mercredi 3 Juin 1998 à 21h24. Couchant depuis le bas de la butte du Moulin à Vent. Le soleil est au pied de la butte de Landremont au-dessus de Ville au Val.
Lundi 8 Juin 1998 à 6h45. Croix de Morey le lendemain de la Trinité. Lever du soleil. Le Mont Toulon est éclairé, ce qui sous-entendrait que le soleil ce soit lever « aux alentours » de cette montagne. Il se serait peut-être levé un peu avant vers la droite du creux du relief de côte qui relie le Mont Toulon au Mont Saint Jean.
Lundi 8 Juin 1998 à 6h50. Croix de Morey le lendemain de la Trinité. Le rayon de soleil disparait.
Lundi 8 Juin 1998 à 7h00. Croix de Morey le lendemain de la Trinité. Le jour est là, maussade.
21 Juin 1998 à 5h24. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. Le soleil n’est pas encore là !
Dimanche 21 Juin 1998 à 5h25. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. La lune se trouve dans le creux formé par les Mont Saint Jean et Faez, position proche de celle indiquant les Rameaux pour le soleil. Le soleil se lève à gauche au pied du Mont Toulon. On a vu que ce point de levant pour le soleil correspondait aux Rameaux. C’est un indice pour découvrir le cycle lunaire.
21 Juin 1998 à 5h33. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. Le soleil se trouve à gauche du Mont Toulon, à la hauteur du champ brûlé qui est de 323 m. Ce doit être une lecture possible pour un observateur qui se trouverait derrière les chaînes de montagne du Val Sainte Marie.
21 Juin 1998 à 5h34. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. Le soleil se trouve à gauche du Mont Toulon.
21 Juin 1998 à 5h36. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. Le soleil se trouve à gauche du Mont Toulon.
21 Juin 1998 à 5h43. Solstice d’été. Photo prise devant le porche de l’entrée dans la cour de l’église de Morey qui date du XII ième siècle.
21 Juin 1998 à 5h51. Solstice d’été. Levant. Cette photo est prise depuis la goutte d’observation Leuque qui se trouve en haut du champ au lieudit les Rebuchés. Le soleil est à la verticale du Mont Toulon ce qui donne enfin la véritable fonction de cette butte. Elle détermine le jour du solstice d’été !
21 Juin 1998 à 5h55. Solstice d’été. Levant. La Terre tourne et déjà le soleil ne se trouve plus au-dessus du Mont Toulon.
21 Juin 1998 à 6h14. Solstice d’été. Levant dans le Val de la Natagne à la sortie de Sivry. Le soleil pour l’observateur qui est dans le Val voit se lever le soleil au-dessus du Mont Saint Jean à la Saint d’été. C’est l’explication du nom de baptême de cette montagne.
21 Juin 1998 à 6h20. Solstice d’été. Levant à la Croix de Morey. Nous sommes à nouveau devant la Croix de Morey. Le soleil semble entre le Mont Toulon et le Mont Saint Jean. Il est en fait au-dessus du Val Sainte Marie, à la verticale de l’église de Belleau !
22 Juin 1998 à 20h58. Couchant. Le soleil est au-dessus de la butte portant le nom de Moulin à Vent (Blaine) vue depuis la route qui descend dans le Val de la Natagne. Blaine signifie en gaulois « lieu où le soleil se couche » ou encore « tombeau du soleil ».
22 Juin 1998 à 21h12. Couchant depuis le pont d’Haronoué dans le Val de la Natagne. Le soleil est au-dessus de la butte de Landremont (la barque égyptienne), derrière se trouve la butte de Mousson.
22 Juin 1998 à 21h15. Couchant depuis l’entrée de Belleau au lieudit le Breuil. Le soleil est au-dessus du Mont de Landremont.
22 Juin 1998 à 21h21. Couchant vu depuis la route qui descend de Landremont vers Bezaumont.
Juin 1998 à 11h30. Butte de Mousson vue depuis la butte de Landremont.
28 Juin 1998 à 13h00. Vue panoramique 5 butte de Landremont.
28 Juin 1998 à 13h00. Même vue panoramique que la photo 0698_11 : Mercredi 3 Juin 1998 à 21h16. Couchant depuis le bas de la butte du Moulin à Vent. Il est dans l’alignement du Val Sainte Marie au-dessus de Ville-au-Val.
Juin 1998 à 13h00. Vue panoramique de Mousson, de Dieulouard, de Landremont. On aperçoit très faiblement le Mont Saint Michel de Toul dans le fond à droite.
3 Juin 1998 à 20h56. Le Val Sainte Marie depuis Landremont.
Septembre 1998. 7h31. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey. Le soleil se lève derrière le point de culmination du Faez, donc au sud du Mont Saint Jean.
Septembre 1998. 7h32. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey. 259m
23 Septembre 1998. 7h33. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey.
23 Septembre 1998. 7h34. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey.
23 Septembre 1998. 7h35. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey.
23 Septembre 1998. 7h35. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey.
23 Septembre 1998. 7h40. Equinoxe d’automne. Levant à la Croix de Morey. Le soleil est entre les deux Mont Saint Jean et Faez, dans le creux que forme la séparation de ces deux montagnes.
23 Septembre 1998. 7h55. Equinoxe d’automne. Déplacement sur la D10. Photo prise depuis le lieudit « La Goule » en sortie de Sivry. Le soleil est bien entre les deux monts Saint Jean et Faez.
23 Septembre 1998. 7h56. Equinoxe d’automne. Déplacement sur la D10. Arrivé presque en haut de la côte, l’astre divin est en face de moi, c’est l’illumination totale.
23 Septembre 1998. 8h00. Equinoxe d’automne. Arrivé en haut de la côte de la D10, on découvre la plaine de Moivron, la Seille. Le soleil semble perpendiculaire à la Noutte, (ressemblant à Nout, nom à consonance égyptienne.)
: 23 Septembre 1998. 8h00. Equinoxe d’automne. Recherche du point de vue correct de l’angle d’observation. Je suis sur la D90e à droite de Sivry au lieudit « en Catenou ». Il se passe quelque chose. Le Faez possède plusieurs creux sur le relief de son sommet, et le soleil ne se trouve évidemment plus entre les monts Saint Jean et Faez, mais décallé d’un « creux » vers la droite. Une photo panoramique serait indispensable pour comprendre ce phénomène. Je pense que cela est du au changement de méridien provoqué par le déplacement. Les positions des points de culminations semblent donc proportionnelles dans l’indication solaire du temps. Il faut donc rechercher le centre où se trouve le point exact d’observation de la montagne indicatrice du temps, qui sera très certainement le Nemeton de ce Val dédiée à Marie.
23 Septembre 1998. 8h03. Equinoxe d’automne. Photo panoramique prise au lieudit « Au Colombier » à droite de Sivry et en haut de la route qui monte au bois de la Rumont, culminant environ à 284 m.
11 Novembre 1998. Levant au Val de la Natagne. Vue prise depuis le lieudit « La Noue des Près ». On remarque une lumière verte inhabituelle pour un lever de soleil. Le soleil se trouve à l’extrémité droite du bois de la Tremblouse et annonce l’arrivée prochaine du solstice d’hiver.
11 Novembre 1998. Levant au Val de la Natagne. Photo prise à la hauteur de 402m du Bois de la Tremblouse, devant une petite maison ayant un cadran solaire. C’est la position du levant par rapport au relief de côte du Grand Couronné 11 jours après le Nouvel An Celte, qui est le jour de Samain. Nous savons avec cette photo, que lorsque le soleil se lévera au croisement des deux reliefs de côtes formé par le Grand Couronné et le Bois de Viller, que l’on sera le jour de l’an Celte ! J’insiste sur cette lumière verte du 11 Novembre. Quel était le Saint caractérisant le 11 Novembre ? La Saint Martin !
11 Novembre 1998. Photo prise au Bois de la Tremblouse de la Trompette de Bratte à la Saint Martin. 402 m.
11 Novembre 1998. Photo prise à la Saint Martin depuis le lieudit « La Veau » de Bratte. Le soleil semble « glisser » le long de ce relief de côte qui est le Bois de la Tremblouse. Cette hauteur servait donc à l’observation de la période hivernale annoncée par le « vert » de la Saint Martin. On retrouvera d’ailleur se nom de couleur sous la forme de « Bois de la Vervau » du Bois de Pulnoy qui pour les habitants de la butte Sainte Geneviève indiquait justement cette période hivernale !
11 Novembre 1998. Photo prise à la Saint Martin depuis le lieudit « La Veau » de Bratte. Le soleil semble « glisser » le long de ce relief de côte qui est le Bois de la Tremblouse.
11 Novembre 1998. Arrivée par la D90e au lieudit « Au Praillon de Bratte ». Le soleil semble sur la pointe Nord du Bois de la Dame (Vassuchamp).
11 Novembre 1998. Arrivée par la D90e au lieudit « Au Colombier » en sortie de Sivry. Le soleil semble perpendiculaire au lieudit « Vassuchamp ».
11 Novembre 1998. Arrivée par la D90e au lieudit « à la Noue de Bratte ». La position du soleil se précise. Il est effectivement à l’extrémité de la pointe Nord du Bois de la Tremblouse/Bois de la Dame (400 m). La toponymie « Bois de la Dame » est à soulignée car elle nous indique une voie de recherche mythologique celtique avec très probablement « Berthe » et « Brigitte » et aussi tout ce qui à trait à « la Dame Blanche ». Après recherche , j’ai découvert que la Dame Blanche était liée à la période du solstice d’hiver et surtout au jour de la fin du cycle solaire de l’année chrétienne.
11 Novembre 1998. Arrivée par la D90e à Bratte. Le soleil est bien à l’extrémité nord du Bois de la Dame et perpendiculaire à une source : la Natagne Rau.
21 Décembre 1998. 8h44. Solstice d’hiver. Le Rays de Faulx. Lever derrière la Trompette de Bratte. Le soleil est pour l’observateur perpendiculaire au point de culmination du bout de la Trompette. Ce qui nous permet de relier symboliquement les Trompettes de Jerichos de L’Apocalypse à un moment particulier de l’année : le jour du solstice d’hiver, le soleil entre dans sa phase apocalyptique : le début de l’hiver !
21 Décembre 1998. 8h45. Solstice d’hiver. Photo prise depuis le Rays de Faulx. Le soleil est là, au point culminant de la Trompette de Bratte. (Bratte viendrait de Bratis : le Genèvrier).
21 Décembre 1998. 8h46. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver. Vue 1
21 Décembre 1998. 8h46. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver. Vue 2
21 Décembre 1998. 8h47. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver. Vue 1
21 Décembre 1998. 8h48. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver. Vue 2
21 Décembre 1998. 8h50. Solstice d’hiver. A la Tennezière de Bratte Bne 389 m. La position du levant derrière le relief de côte du Grand Couronné se trouve au lieudit « Aux Rouax », autrement dit le Rouet qui est une machine servant à filer et à tordre le fil. Me croira-t-on si je dis avoir vu ce matin là le Buisson Ardent ? Quelle étrange lever de soleil que celui-ci !
21 Décembre 1998. 8h52. Solstice d’hiver. A la Tennezière de Bratte. Je me suis approché un peu plus du bord pour être certain que le soleil se rapprochait bien du lieudit « Aux Rouaux ».
21 Décembre 1998. 9h00. Solstice d’hiver. Le relief de côte du Bois Domaniale de la Rumont. Sur une carte IGN, on trouve pour ce bois de droite à gauche, une côte de ce relief de 10 cm, donc unité solaire. Pour l’observateur qui se trouve à la Tennezière, il semble parfaitement rectiligne. Il s’agit du diamètre d’une cardioïde telle que celle invisble tracée autour de la butte Sainte Geneviève. On peu donc tout à fait observer le passage des astres au couchant ou au zénith vu de la Tennezière ou du point de culmination de la Trompette de Bratte.
21 Décembre 1998. 9h00. Solstice d’hiver. Vue 1. Bois Domanial de la Rumont.
21 Décembre 1998. 9h02. Solstice d’hiver. Bois Domanial de la Rumont.
21 Décembre 1998. 9h02. Solstice d’hiver. Vue 2. Bois Domanial de la Rumont.
21 Décembre 1998. 9h05. Solstice d’hiver. Levant au lieudit au Seyen culminant à 377 m et se trouvant à peu près au milieu de la Trompette de Bratte. Au pied se trouve la source des Fomerelles (Fomorés ou Fomoires Celtiques). La vue est tellement merveilleuse que je décide de faire une photo panoramique du Grand Couronné vue de derrière.
21 Décembre 1998. 9h05. Solstice d’hiver. Vue de la Haute-Faulx depuis la Trompette. A gauche on voit l’extrémité du Grand Couronné et à droite l’extrémité du Bois de la Rumont. Dans le fond se trouve le plateau de Haye. Les symboles en correspondances sont Nout, la Goule, c’est-à-dire le bois de la Rumont, Anubis avec Lay-Saint-Christophe, derrière le Grand Couronné, Isis avec le Sâ, et Thot, Hermès avec la Forêt de la vie qu’est le plateau de Haye.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. En bout de la Trompette de Bratte, levant au point de culmination de 363 m. Le soleil est d’un blanc brillant.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte. Vue 1.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte. Vue 2. Le soleil n’est plus perpendiculaire au lieudit Aux Rouaux vu de l’extrémité de la Trompette de Bratte, tout simplement parce que nous avons changé de méridien. Le soleil se trouve perpendiculaire au bois de Montenoy. Dans ce mot on trouve MONT EN OY qui pourrait très bien signifier MONT DE L’OIE. Ce qui nous relie à la symbolique de Brigitte, hors, ce qui est tout à fait extraordinaire, est que l’on se trouve bien avec le jour du solstice d’hiver en pleine mythologie de la Berthe, de Brigitte et effectivement du vol de l’oie ! Autrement-dit, le Grand Couronné, vu depuis le bout de la Trompette de Bratte est une véritable règle sur laquelle on va pouvoir effectuer des mesures de passages solaires par rapport aux courbes des reliefs de côtes que traces les champs sous la forêt. Et en observant la perpendiculaire de l’astre par rapport à ces courbes, surveiller l’ascension du soleil. Car en effet, dans mon CD ROM, j’ai découvert que la distance de cette règle était de 26,5 divisions solaires (des petits hexagones). Hors l’ascension du soleil tout au long d’une année se trouve être de 26,5 ° !
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte. Vue 3.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte. Vue 4.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte. Vue 5.
Pour l’observateur, ce relief de côte que trace le Grand Couronné, forme une règle parfaite, que les Celtes ont très certainement baptisé « corne de Cernunos », le fameux dieux en position de Boudha sur le chaudron de Gundestrup.
21 Décembre 1998. 9h30. Solstice d’hiver. En revenant à la Tennezière du bout de la Trompette de Bratte, on remarque le Mont Toulon éclairé par le soleil dans le fond à l’extrémité gauche du Bois de la Rumont.
21 Décembre 1998. 8h46. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver.
21 Décembre 1998. 8h47. Solstice d’hiver. La Trompette au solstice d’hiver.
21 Décembre 1998. 9h00. Solstice d’hiver. Bois Domanial de la Rumont.
21 Décembre 1998. 9h15. Solstice d’hiver. A la Trompette de Bratte
30 Décembre 1998. Nouvel An chrétien. A la sortie de Faulx à 8h44. Le soleil semble sur le point culminant de la Trompette de Bratte.
30 Décembre 1998. 8h52 A la Tennezière. Le soleil se lève perpendiculairement au lieudit « Aux Rouaux » du Grand Couronné. A gauche se trouve la Bois de Viller. Sur la photo on remarque clairement une sorte d’effet d’optique, comme si dans le soleil il y avait un objet en mouvement et effectuant une rotation.
30 Décembre 1998. 9h02. Levant en bas de Bratte. Le soleil est perpendiculaire au milieu du Bois de la Tremblouse.
30 Décembre 1998. 9h07. Photo prise depuis le lieudit Au Sâ. Le soleil est perpendiculaire au lieudit la Croix de Bratte. Il est entre le Bois de la Tremblouse et la forêt de la Rumont. Le soleil approche de la fin de son cycle. L’observation du levant se fait alors à la Trompette de Bratte.
30 Décembre 1998. 9h13. Photo prise sur la D44 au lieudit Champ de Pierre. En arrivant à Custine lorsque l’on revient du Val de la Natagne. Le soleil est perpendiculaire au lieudit Au Tambour. Ce nom de lieudit est à souligné car il explique peut-être d’un nouveau jour son symbolisme en tant que « lieu où le soleil rebondit » !
30 Décembre 1998. 9h13. Levant au-dessus des Résidences Saint Antoine de Custine. Le soleil est perpendiculaire au lieudit En Quevenaille.
30 Décembre 1998. 9h15. Photo prise depuis la rue de Morey à Custine en montant à la source du Monchamps. Le soleil est perpendiculaire au Tambour.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h30. A la Borne de la Tennezière. Le soleil se lève au-dessus du lieudit « Aux Rouaux » (côte de Nancy).
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h32. A la Borne de la Tennezière.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h35. A la Borne de la Tennezière.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h40. A la Borne de la Tennezière. Le phénomène optique montrant l’excentricité du cœur va bientôt commencer.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h44. A la Borne de la Tennezière. Le phénomène optique du jour des Rois commence. On voit un petit cercle tourner à l’intérieur du soleil. Ce petit cercle est décalé par rapport au centre du soleil et ce de manière excentrée. Sur la photo, ce phénomène est visible par les cercles lumineux que l’on voit autour du soleil semblant indiqués que quelque chose tourne à l’intérieur du soleil.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h50. A la Borne de la Tennezière. La lumière devient de plus en plus blanche et brillante. Le petit galet à l’intérieur du soleil (d’ou vient peut-être le nom et la coutûme de la galette des Rois !!!) tourne de plus en plus vite et le soleil semble effectivement trembler tout comme l’indique le nom du lieudit où je me trouve : bois de la Tremblouse !
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h55. Au lieudit la Noue en-dessous de Bratte. Le Soleil Tremble perpendiculairement au Bois de la Tremblouse. Au couchant, le soleil terminera sa phase descendante.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 8h55. Avant de repartir prise de photo de la lune depuis le lieudit Aux Joncs du chemin qui va au Mont Toulon. La lune est perpendiculaire au Moulin à Vent et donc à sa position Méridienne au jour des Rois.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 9h00. Levant au lieudit Aux Joncs en regardant du côté du Mont Saint Jean (en dessous du Mont Toulon).
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 9h10. Depuis les Prays en-dessous du Mont Toulon. Le soleil est perpendiculaire au point culminant à 397 m du Mont Saint Jean.
6 Janvier 1999. Jour des Rois. 9h10. Depuis les Prays en-dessous du Mont Toulon. Le soleil est perpendiculaire à la pointe du Mont Saint Jean. On remarque le lieudit Bloquemont. Pour l’observateur, le soleil est ici à sa valeur maximale de son déplacement. Il est bloqué sur ce mont et n’ira pas plus loin d’où le nom de ce point culminant « Bloquement » ! La photo est éblouie des des ronds de lumières dégradées en couleur mais ayant la particularité d’être de tailles différentes. Cependant, sur cette photo, les cercles ne sont plus décalées les uns par rapport aux autres mais sont tous imbriqués les uns dans les autres.
Vue 1 sur le Val de la Natagne le Dimanche 25 Juillet 1999 au couchant.
Vue 2 sur le Val de la Natagne le Dimanche 25 Juillet 1999 au couchant.
Couchant depuis la butte de Landremont le 25 Juillet 99 à l’ancienne Saint Christophe (1)
Couchant depuis la butte de Landremont le 25 Juillet 99 à l’ancienne Saint Christophe (2)
Couchant depuis la butte de Landremont le 25 Juillet 99 à l’ancienne Saint Christophe (3)
C’est bien entendu la vue 3 qui est la plus intéressante. Le soleil se couche perpendiculairement à première vue, sur Mamey !
23 Mars 2000 à 7h04 au Sâ de Belleau. Equinoxe de printemps. Le soleil est perpendiculaire au point culminant à 395 m du Faez devant le lieudit Saule Coulon. Le Saule, arbre du Cad Goddeu, est donc lié aux équinoxes. Rappelons qu’avec le Saule on fait de l’aspirine !
23 Mars 2000 à 7h04 au Sâ. La lune est perpendiculaire à la Croix de 377 m du Bois du Chapitre.
23 Mars 2000 à 7h04 au Sâ de Belleau. Equinoxe de printemps. Le soleil est perpendiculaire au point culminant à 395 m du Faez devant le lieudit Saule Coulon.
23 Mars 2000 à 7h15. Equinoxe de printemps. Lever du soleil devant la chapelle Templière de Belleau. Le soleil est au bout de la rue de Belleau (D10).
23 Mars 200. Ce bâtiment qui se trouve à l’entrée de Belleau est selon Lepage, une ancienne chapelle Templière. La tour carrée ne laisse planer aucun doute sur le caractère sacrée de ce monument. La pièce du haut est d’ailleurs éclairée par le levé du soleil à l’équinoxe de printemps. C’est la fameuse chambre de cristal celtique. Nous pouvons en déduire que la face avant sera éclairée au solstice d’été et la face arrière au solstice d’hiver. C’est très certainement dans la pièce du haut que les Templiers venaient prier Dieu à ces périodes de très grande sacralité.
23 Mars 2000 vers 7h20. Lever depuis la sortie de Belleau sur la D10.
23 Mars 2000 vers 7h15. Fontaine des Aulnes au pied du Mont Saint Jean. Elle sort d’ailleurs entre deux de ces arbres.
23 Mars 2000 vers 7h15. Fontaine des Aulnes au pied du Mont Saint Jean.
23 Mars 2000. Rau La Noue au pied du Mont Saint Jean. On remarque dans le fond le Mont Toulon.
23 Mars 2000. Equinoxe de printemps. Levant au pied du Mont Saint Jean. Rau (Source la Noue) ruisseau qui coule en direction du levant du soleil à l’équinoxe ! Il indique le lieudit : Saule Coulon.
16 Avril 2000 à 6h59 jour des Rameaux. Vue prise depuis le Sâ de Belleau. Le soleil est perpendiculaire à la hauteur de 349 m du Mont Saint Jean (au Hardémont). On peut supposer avec raison qu’à la Pâques du 23 Avril 2000, il se lèvera perpendiculairement à la hauteur de 379 m du Mont Saint Jean c’est-à-dire en son milieu !
Dimanche 16 Avril 2000 à 7h05 jour des Rameaux au Sâ de Belleau.
21 Juin 2000 à 5h43 au Sâ de Belleau. Le soleil se lève au solstice d’été exactement au milieu du relief de côte entre l’extrémité gauche du Mont Saint Jean et le Mont Toulon. Ceci est valable sous ce méridien. Si on observe le levé du soleil au solstice d’été depuis la Croix de Morey, il est alors derrière le Mont Toulon. Pourquoi ? Tout simplement parce que le méridien n’est plus le même. Pour l’observation depuis le Sâ, le méridien est de 4,3 gr. La question à poser aux astronomes est : qu’est-ce que ce méridien représente ?
21 Juin 2000 à 5h49 au Sâ de Belleau. Solstice d’été.
30 Juillet 2000 à 6h17 au Sâ de Belleau. Le soleil se lève en bout du Mont Saint Jean. Le 1er Août est une fête Celte : la Lugnasad. Nous découvrons ici une correspondance solaire dans le temps entre la fête de Beltaine du 1er Mai et la Lugnasad du 1er Août. La première étant une fête ascendante et le seconde une descendante dans le cycle solaire.
30 Juillet 2000. Lugnasad.
30 Juillet 2000 à 6h22 au Sâ de Belleau.
28 Septembre 2000 à 7h45 Saint Venceslas (le 29 est le jour de la Saint Michel). Levé de soleil vu de notre appartement. Il se lève derrière les hauteurs de Lay-Saint Christophe. L’équinoxe d’automne n’était pas observable à cause d’un temps pluvieux. La position du soleil sur ce relief de côte est similaire à celle de l’équinoxe de printemps.
J’avais pris une photo au Sâ de Belleau à 6h49 qui n’a pas été tirée. La lune n’est pas loin d’être perpendiculaire au Sâ. Elle est très haute dans le ciel. Il serait intéressant de virifier si elle ne se serait pas levée à cette date perpendiculaire au Mont Toulon.
23 Septembre à 7h57 en sortie de Belleau. Il fait un temps exécrable, impossible d’observer le lever depuis le Sâ.
23 Septembre à 8h00 en sortie de Belleau. Timide apparition du soleil cependant suffisante pour situer à peu près le lieu d’apparition du soleil au levant de l’équinoxe d’automne. Il est bien derrière le Faez, perpendiculaire au lieudit Saule Coulon tout comme au levant de l’équinoxe de printemps.
23 Septembre 2000 à 8h02 devant l’église Templière de Belleau. Elle est éclairée au en automne par le soleil se levant en Saule Coulon. Remarquez la colonne à côté de la porte de la chapelle.
23 Septembre 2000 à 8h06 au Sâ de Belleau : le néant pour observer !
23 Septembre 2000 à 8h06 au Sâ de Belleau : le néant pour observer !
23 Septembre 2000 à 8h12 à l’entrée de Custine sur la route qui descend du Buzion. Equinoxe d’automne. Le soleil de ce point de vue se lève perpendiculairement en bout droite du relief de côte.
1er Novembre 2000 à 7h30 au Sâ de Belleau, jour de la fête celte de Samain.
1er Novembre 2000 à 7h34 au Sâ de Belleau, jour de la fête celte de Samain.
1er Novembre 2000 à 7h35 au Sâ de Belleau, jour de la fête celte de Samain. Apparition du soleil perpendiculaire au début gauche du bois de la Tremblouse.
1er Novembre 2000 à 7h39. Le soleil va entamer sa course vers l’hiver et se déplacera jusqu’à l’extrémité droite du bois de la Tremblouse.
1er Novembre 2000 7h41 Samain vue du Sâ. Vue pan n° 1
1er Novembre 2000 7h41 Samain vue du Sâ. Vue pan n° 2
1er Novembre 2000 7h41 Samain vue du Sâ. Vue pan n° 3
1er Novembre 2000 7h41 Samain vue du Sâ. Vue pan n° 4 Le soleil se lève perpendiculairement à l’extrémité gauche du bois de la Tremblouse. Derrière se trouve la source des Hauts journaux, source celtique sacrée de l’antiquité et où des vestiges archéologiques importants ont été découvert par Lucien Geindre. Le choix de la sacralité de cette source s’explique donc par la fête de Samain du 1er Novembre mais très certainement aussi par la fête d’Imbolc du 1er Février.
Nous pouvons conclure cette étude sur cette photo panoramique : Au point de culmination situé entre le Mont Toulon et le Mont Saint Jean, au milieu, se trouve le point d’apparition du soleil au solstice d’été, ceci bien évidemment depuis le Sâ. En extrémité gauche du Mont Saint Jean se trouve le point d’apparition de la Lugnasad, en extrémité gauche du Faez, en Saule Coulon, se trouve le point d’apparition du soleil de l’équinoxe d’automne, en début gauche du Bois de la Tremblouse se trouvera la fête de Samain et en extrémité droite, à la Trompette de Bratte, se trouvera le point du solstice d’hiver. Ceci est le circuit en phase descendante du soleil. En phase ascendante on retrouvera les même point identiques d’apparition du soleil, seuls deux noms vont changer en celtique afin de différencier les deux phases, l’extrémité gauche du Mont Saint Jean indiquera la Beltaine et l’extrémité gauche du Bois de la Tremblouse, la fête d’Imbolc qui est notre dernière valeur théorique à vérifier. Mais ce n’est pas avant Février 2002 ! Cependant je suis tellement certain de moi que l’on peu d’hors et déjà annoncer que Beltaine = Lugnasad et Imbolc = Samain ! L’année se trouve ainsi découpée équitablement en cinq parties par des points de culminations.
Il y avait en Irlande quatre fêtes dont chacune marquait le début d’une saison :
- Le 1er Février avait lieu l’Imbolc
- Le 1er Mai le Beltene
- Le 1er Août le Lugnasad
- Le 1er Novembre le Samuhin
Nous pouvons conclure cette étude sur cette photo panoramique : Au point de culmination situé entre le Mont Toulon et le Mont Saint Jean, au milieu, se trouve le point d’apparition du soleil au solstice d’été, ceci bien évidemment depuis le Sâ. En extrémité gauche du Mont Saint Jean se trouve le point d’apparition de la Lugnasad, en extrémité gauche du Faez, en Saule Coulon, se trouve le point d’apparition du soleil de l’équinoxe d’automne, en début gauche du Bois de la Tremblouse se trouvera la fête de Samain et en extrémité droite, à la Trompette de Bratte, se trouvera le point du solstice d’hiver. Ceci est le circuit en phase descendante du soleil. En phase ascendante on retrouvera les même point identiques d’apparition du soleil, seuls deux noms vont changer en celtique afin de différencier les deux phases, l’extrémité gauche du Mont Saint Jean indiquera la Beltaine et l’extrémité gauche du Bois de la Tremblouse, la fête d’Imbolc qui est notre dernière valeur théorique à vérifier. Mais ce n’est pas avant Février 2002 ! Cependant je suis tellement certain de moi que l’on peu d’hors et déjà annoncer que Beltaine = Lugnasad et Imbolc = Samain ! L’année se trouve ainsi découpée équitablement en cinq parties par des points de culminations.
Il y avait en Irlande quatre fêtes dont chacune marquait le début d’une saison :
- Le 1er Février avait lieu l’Imbolc
- Le 1er Mai le Beltene
- Le 1er Août le Lugnasad
- Le 1er Novembre le Samuhin
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